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NetGalley

Badge Critiques à la Une 10 chroniques de livre

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 Bonjour, grâce à #Netgalley et #Lizzie j’ai écouté « Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière » de Raphaëlle Giordano.


 

Henriette, architecte hypersensible, se retrouve obligée de collaborer avec Auguste et son patron pour un chantier de jardin paysager. Mais Auguste, qui joue son avancement sur ce projet, ne se montre pas forcément arrangeant avec Henriette.
Pourtant, les imprévus de ce chantier vont leur montrer que s’ils ont tout intérêt à faire équipe ils ont plus de points communs qu’ils ne le pensent.


Cela faisait longtemps que je voyais passer le nom de cette auteure et ses titres qui attirent l’attention. C’est avec pas mal d’espoir que je me suis lancée dans cette écoute.
Et bien comme elle l’écrit entre elle et moi ça n’a pas « matché » et oui je ne suis pas drôle, mais quand dans les premières pages, je me retrouve avec « matcher » et «  tchequer » déjà ça ne commence pas forcément bien.
Ça, c’est pour l’écriture, mais ensuite, ce sont les personnages avec lesquels je n’ai pas accroché.
L’histoire en elle-même est mignonne, c’est une romance sans rien d’extraordinaire, avec une fin cousue de fil blanc.
Mais autant de phobiques au cm² ça devient gênant, c’est vraiment trop. L’héroïne est vraiment une caricature à elle seule, les hypersensibles évidemment sont gênés dans leur vie quotidienne par leurs émotions, mais là ça fait tout de même beaucoup, je trouve.
Quant à Auguste qui passe son temps à parler à son sexe, j’ai trouvé ça vraiment ridicule.
J’étais étonnée que le patron n’ait rien à cacher, mais si lui aussi est rattrapé par l’attaque de phobies.
Et puis bien sûr le méchant même si comme c’est un feelgood ne reste pas méchant, a toujours le même profil, le type dans la force de l’âge qui avec son assurance ne comprend rien à rien. La bonne caricature à la mode.
Vraiment, j’ai eu du mal à aller au bout, et encore la fin m’a achevé une heure d’écoute de faux témoignages de phobiques, c’est du remplissage surtout par rapport à la taille du livre.
Je reconnais deux qualités tout de même à ce livre, on a pas eu le droit aux éternelles scènes sexuelles inutiles, et la visite en Italie.
La lecture de Thomas Dormoy est vraiment agréable , c’est cela qui m’a fait tenir.
Désolée, mais je ne pense pas relire cette auteure.

 


 

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